TOUT sur Pr'Ose!

Publié le par EmmaBovary


Que faire pour vous procurer Pr’Ose !

        

         Il vous suffit d’envoyer un chèque (à l’ordre de Frédérique Trigodet) à l’adresse suivante : Pr’Ose !, Rés. Rive gauche, Bât. C, 23 rue Tudelle, 45100 Orléans.  Un numéro coûte 3 euros et par conséquent, 2 numéros en coûte 6. Après, c’est trop compliqué pour moi, je vous laisse calculer… Bon, comme je suis de bonne humeur, je vous fabrique quand même un petit bon de commande :

 

Nom :                                                                         Prénom :

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Téléphone:                                                             

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Je commande (frais de port compris) :


          o
Un numéro : 3 euros       
                ... x … exemplaires = … euros        

          
o Plusieurs numéros :

     ... x … exemplaires = … euros        

     
           o Je m'abonne pour les deux prochains numéros:

   2 x 3 = 6 euros

  (à partir du numéro: .....)     

 

Règlement par chèque (à l’ordre de Frédérique Trigodet).

Pr’Ose !, Rés. Rive gauche, Bât. C, 23 rue Tudelle, 45100 Orléans.

   

 
 

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Vous aimeriez rejoindre la fine équipe de Pr’Ose !?

 

     « Pr’Ose ! » n’a aucune ambition élitiste ! Ouverte aux auteurs débutants, occasionnels et/ou confirmés, aux écrivains du dimanche et aux vieux briscards de la plume, la revue se veut multiple et curieuse. Nouvelles, textes courts, témoignages, lettres, poésie… sont les bienvenus dans nos pages. Le choix se fera d’après la qualité des textes, leur originalité, le plaisir de lire et le coup de cœur !

     Il est possible d’envoyer les textes par courrier (revue Pr’Ose, Frédérique Trigodet, résidence Rive Gauche, Bât. C, 23 rue Tudelle, 45100 Orléans) ou par e-mail (prose@laposte.net). Pour les nouvelles, ne pas dépasser 20000 caractères* (espaces compris) et pour les textes courts, 2000 caractères* (espaces compris).

 

     N-B : Il peut y avoir 6 à 12 mois d’attente avant publication. Si vous souhaitez une réponse de notre part, joignez une enveloppe timbrée ou indiquez votre adresse mail. Bien entendu, comme dans la plupart des revues littéraires, la publication dans Pr’Ose n’entraîne aucune rémunération et les auteurs conservent la propriété de leurs écrits.

*caractères = lettres, nombres, signes de ponctuation….

 

P’O !

 

Publié dans Revue Pr'Ose!

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E
Merci, merci, Danielle! Je suis ravie pour les auteurs et contente aussi que l'édito t'ait plu!<br /> :)
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D
Je l'ai déjà posté sur MDA mais il sera très bien ici, mon commentaire!<br /> <br /> J’ai reçu le N°12 de Pr'ose ce matin et je ne l’ai pas lâché. Tant pis pour le repassage qui s’entasse depuis quelques jours !<br /> "Bonne lecture", dit Frédérique dans son édito plein d’humour. Je peux vous certifier qu’il n’y a vraiment que du bon et pour tous les goûts. On commence avec une curieuse nouvelle d’Eric Scilien – j’aime bien les auteurs qui apostrophent le lecteur, et sans mentir, j’y suis allée devant la glace parce que je commençais à me demander si mon existence à moi aussi n’était pas que virtuelle –. Heureusement, Régine Garcia m’a fait souvenir « des promenades de mon enfance », puis Guylaine de Fenoyl m’a presque tiré une larme avec « l’odeur des mots », Anne Veillac m’a réjouie avec ses petites histoires de tous les jours, ses réflexions qu’elle offre avec tellement de simplicité, de poésie. Après « Harmonie noire » de Sylvie Martin, j’ai eu envie d’aller plaquer quelques accords mais Véronique Pingault ne m’en a pas laissé le temps. Le chant mélancolique de son « Porteur de mémoire » m’a retenue. Et puis j’ai essayé d’imaginer le « petit homme fragile » de Gaëlle Pingault, son « cœur » son « âme sœur. » J’allais encore m’attendrir mais Christophe Campos m’attendait au coin du bois, plutôt à la page 21, accompagné de son Emma à lui : mais c’est celle-là que l’on devrait faire étudier à nos lycéens, celle qui n’a pas peur des mots, rue dans les brancards ! « Charles, je vais crever si je reste avec toi… » J’ai terminé ma promenade littéraire en RER, plutôt dans un bus parisien avec Malena Emo et une page d'humour noir.<br /> Un délicieux moment et je le dis sans complaisance aucune. Je les relirai tous ces textes, mais pas tout de suite, le fer est chaud !
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